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De nos jours, il est tout à fait possible de changer d’emploi et de s’improviser chef d’entreprise pour lancer son business, notamment en ligne. Pour celles et ceux qui aimeraient ouvrir une boutique de vêtements sur internet, que ce soit pour en faire sa source de revenus principale ou bien un apport secondaire, il faut cependant connaître à l’avance quelques règles afin que tout se passe au mieux. Les cas d’échec ne sont pas rares lorsque l’on ne prend pas le temps de bien se renseigner au préalable, ou alors si l’on ne sait pas faire l’introspection nécessaire pour déterminer si oui ou non, on est fait pour cela. Au travers de cet article, nous allons voir les différentes étapes nécessaires avant de créer sa petite société en ligne pour vendre des vêtements et autres accessoires de mode.

 

L’investissement financier de départ

Au regard des questions postées aux spécialistes comme les blogs consacrés au business en ligne, il se trouve qu’il y en a une qui revient régulièrement. Quel est le temps nécessaire pour créer sa boutique en ligne pour vendre des vêtements ? C’est difficilement quantifiable et tout dépend déjà de où l’on part, c’est-à-dire si l’on a certaines compétences pour créer un site, ou encore si on possède déjà un stock de vêtements. Dans ce dernier cas, nous le verrons plus tard, il faut s’adresser à des professionnels de la vente en gros, comme un grossiste de vêtement à Aubervillers.

Revenons-en au site web. Même s’il existe des solutions rapides pour le faire soi-même, c’est rapidement limité, notamment en ce qui concerne le référencement naturel. Sous ce terme se cache la réalité de la compétition des sites internet entre eux : il faut savoir que les tout premiers résultats d’une page d’un moteur de recherche (comme Google) sont ceux qui sont les plus cliqués par les internautes. C’est pourquoi une lutte féroce se déroule pour optimiser au mieux son site afin de lui donner toutes les chances d’apparaître en premier, ou du moins dans les dix premiers au minimum. Quand on n’a aucune compétence en webdesign, quand bien même on pourrait créer son site en se débrouillant, c’est presque peine perdue si l’on veut qu’il soit assez consulté et faire en sorte que les visiteurs soient tentés d’acheter.

Il y a d’autres coûts que son site internet, par exemple déposer les statuts de son entreprise. Mais c’est très peu comparé à faire faire un site internet par un professionnel (plusieurs milliers d’euros) qui puisse tenir la route.

 

Faut-il vraiment un stock de départ ?

C’est une question tout à fait légitime, comme nous l’avons évoqué dans le point précédent. Afin de pouvoir y répondre, il s’agit de savoir ce que l’on veut véritablement être dans le domaine de la vente :

  • Être détaillant, c’est-à-dire acheter en masse à un grossiste pour ensuite revendre sur son site internet par petites quantités au fur et à mesure.
  • Au contraire, devenir grossiste et revendre pour des professionnels.
  • Faire du dropshipping, autrement dit vendre ce que l’on n’a pas encore et que l’on va trouver ailleurs.

La question du financement de départ se pose alors, car il n’y a véritablement que dans le troisième cas que l’on n’a pas besoin d’investir au préalable dans un stock parce qu’on fonctionne à la demande et en flux tendus. 

 

Le moins coûteux

Nous y avons répondu, c’est sans conteste le dropshipping. Sans stock, pas de risques de perdre de l’argent avec un investissement de départ considérable et qui, finalement, n’a aucune garantie de se vendre. Attention cependant, cela ne signifie pas pour autant que le business dans son ensemble soit peu cher : mieux vaut alors que son argent serve plutôt à promouvoir son entreprise, via la publicité sur internet et surtout faire appel à un professionnel du web pour optimiser son site vitrine.